D-DAY - NORMANDIE 44
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par lipton 78 du groupe for victory ( Objectif XYZ Mézières )

2 participants

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 par lipton 78 du groupe for victory (   Objectif XYZ Mézières ) Empty par lipton 78 du groupe for victory ( Objectif XYZ Mézières )

Message  eagle-one Mer 2 Jan - 8:07

Hello,

Voici un fait d'arme plus qu'héroique mené par une poignée d'hommes (pour ne pas dire pas un groupe de 3-4 hommes) dans la matinée du 6 juin.
On parle beaucoup (voire trop) de l'assaut de Brécourt mais celui-là est tout aussi exceptionnel et mérite d'être connu de tous.
Avant la lecture, les sources sont diverses (les ouvrages "la nuit des paras", "rendez vous with destiny", "vanguard of the crusade", "dday with the screaming eagles", "101st airborne at Normandy" etc...., différents forums type "dday ovelord, carentan liberty group, trigger time etc.....)

Le 1/502ème a pour mission de placer des barrages routiers entre Beuzeville et Foucarville et de capturer l'objectif « W » et l'objectif « XYZ » à « Les Mézières », à un peu plus d'un kilomètre de « Saint-Martin-de-Varreville ». L'objectif « W » est une ferme située à une vingtaine de mètres du croisement de la D14 et de la route de Reuville. A 400 mètres au soud-ouest se trouve l'objectif « XYZ ». Il s'agit d'un regroupement de vieilles fermes françaises où sont logés les artilleurs allemands de la batterie de Saint-Martin-de-Varreville.

Pour commencer, voici une carte d'ensemble qui permet de mieux situer les lieux:
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Le 6 juin, Cassidy, commandant du 1/502ème atterrit à 200 mètres à l'est de l'église de Saint-Martin-de-Varreville, cette dernière où le Cpt. Franck Lillyman avait rassemblé ses pathfinders une heure auparavant. Cassidy est rejoint par trois parachutistes et avance dans la campagne normande. Sur le chemin Cassidy rencontre le Lt. Col. Strayer, commandant du 2/506ème qui a rassemblé un groupe. Les deux hommes avancent ensemble suivis de leurs groupes et essaient de localiser leur position. Les deux colonels décident ensuite de se séparer. Le Lt. Col Strayer se dirige avec plus de 400 hommes vers les sorties 1 et 2 de Utah Beach. Cassidy, quant à lui, se dirige vers les objecitfs « W » et « XYZ ». Sur le chemin, il rencontre Lillyman qui revient d'une mission de reconnaissance sur les positions de la batterie de Saint-Martin-de-Varreville, Cassidy lui donne alors l'ordre d'aller établir un barrage à côté de Foucarville.

Cassidy et sa colonne arrivent à l'objectif « W », mais la ferme est vide. La ferme est alors utilisée comme poste de commandement par Cassidy
Cassidy va alors faire un tour aux positions de la batterie de Saint-Martin-de-Varreville, situées à une centaine de mètres aux nord-est de l'objectif « W », à « La Croix aux Bertots » ; il y trouve le Lt. Steve A. Chappuis, commandant du 2/502ème, assis sur les décombres d'un des canons, avec plusieurs hommes autour de lui. C'était leur objectif, et ceux qui avaient atterri à proximité s'y étaient rendu mais la batterie avait déjà été détruite dans la matinée par les bombardiers.

Cassidy retourne à son poste de commandement (à l'objectif « W ») et envoie des paras placer des barrages routiers au nord et au sud de sa position et en envoie d'autres pour protéger son PC. Il envoie aussi un petit groupe attaquer l'objectif « XYZ ». Ayant peu d'hommes à placer sur cet objectif, le colonel Cassidy choisi le Staff/Sgt. Harrison Summers à la tête une patrouille, composée presque entièrement de soldats de différentes unités. Summers ne connait que très peu d'entre eux et n'a aucune idée de leurs capacités de combat.

Voici une vue d'ensemble du complexe XYZ:

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Summers conduit son groupe composé de quinze hommes le long de la haie qui va du poste de commandement jusqu'à la première maison de l'objectif « XYZ ». Le groupe longe la haie sur 500 mètres au bord de la route qui va de « Saint-Martin-de-Varreville » à « Les Mézières » (la D423 actuellement) . Summers arrive au premier bâtiment à 9 heures. Il se tourne pour donner les ordres d'attaque mais se rend compte que ses hommes sont restés en arrière. Le sergent avance tout seul vers l'objectif, pour donner l'exemple, espérant que les autres le suivent. Les bâtiments du complexe avaient des murs épais de pierre avec des fentes d'où les allemands faisaient feu sur les paratroopers exposés. Les bâtiments s'étendaient des deux côtés de la route sur environ 600 mètres vers l'ouest.

Les hommes sont en couverture dans les fossés en bordure de route, derrière des haies, et les allemands qui sont dans le premier bâtiment n'envoient que des tirs inefficaces. Summers rampe à travers la haie, se relève, et marche calmement vers la porte arrière de la petite ferme. Il défonce la porte avec son épaule. Levant sa Thompson à hauteur de sa taille, il abat les allemands qui sont alignés le long des fentes. Quatre soldats ennemis sont tués et le reste fuit par une autre porte.

Summers revient dans le fossé derrière la haie et jette un coup d'œil sur ses hommes. Il ne dit rien. Les survivants du premier bâtiment avaient fuis sur la route en direction de l'ouest, il décide donc lui aussi de suivre cette direction. Summers longe la haie sur le côté sud de la route et s'approche du second bâtiment. Il défonce la porte, mais l'ennemi a déjà fui. Le Lt. Elmer F. Brandenberger arrive quelques temps après Summers au bâtiment 2 et y pénètre. Il remarque qu'il y a des mouvements en haut de l'escalier et s'apprête à tirer une rafale de mitraillette, mais pour une raison quelconque, il hésite et jette un second coup d'œil. Il aperçoit alors un jeune garçon, d'à peine 10 ans, tout pâle qui le scrute. Quelques secondes après un français se précipite vers l'enfant et dit « Malade! Malade! Malade! » tout en le pointant du doigt.

Le Pvt. William Burt sort maintenant du fossé, encouragé par la bravoure de Summers. Armé d'une cal. 30., il rampe le long de la haie dans le fossé jusqu'à ce qu'il puisse voir la troisième maison. Burt commence à arroser les ouvertures par lesquels l'ennemi tir, et l'oblige à rester couvert. Pendant que Burt effectue ce tir de suppression, Summers se dirige vers le 3ème bâtiment et y entre en donnant un violent coup de pied dans la porte ; il y tue six allemands d'une rafale de mitraillette.

Pendant ce temps là, la patrouille de Summers se déplace le long de la route et rejoint le Pvt. Burt. Le petit groupe tirait maintenant en direction du quatrième bâtiment. Ce dernier était à une cinquantaine de mètres à l'ouest du troisième bâtiment. Summers sort du bâtiment trois et sprinte jusqu'au quatrième bâtiment. Il se jette contre la porte mais celle-ci est légèrement entrouverte et Summers s'affale par terre. Summers qui est au sol n'est alors pas en mesure de se défendre. Heureusement, il n'y avait pas d'ennemis dans ce bâtiment. Il ressort alors en rampant du bâtiment et s'assoit contre l'un des murs de la maison.

A ce moment là, un grand et maigre capitaine de la 82ème AB arrive depuis les vergers. Il avait été parachuté par erreur dans la zone du 502ème. Le capitaine ne remarque qu'un seul homme aux alentours des trois bâtiments mais ne repère pas ceux dans le fossé en bordure de route. Le capitaine de la 82ème rejoint Summers qui a reprit son souffle et les deux hommes courent vers le 5ème bâtiment. Des soldats ennemis avaient été vus se précipiter vers ce bâtiment qui servait de quartier aux officiers. Un grand espace sans couvertures séparait le bâtiment quatre du bâtiment cinq. Les hommes dans les fossés dirigent alors leurs tirs vers les fenêtres du cinquième bâtiment mais aussi vers les bâtiments situés à proximité pour empêcher les allemands d'observer leur mouvements.

Après avoir fait un clin d'œil au capitaine, Summers traverse la haie, le capitaine fait de même. Les deux hommes sprintent sur la zone découverte. Avant qu'ils n'aient fait vingt mètres, le capitaine s'écroule, atteint d'une balle dans le cœur, il décède sans que Summers ne connaisse son nom. Le Sgt. Summers continue seul. Il enfonce la porte de la cinquième maison et tue six défenseurs allemands dans les différentes pièces du bâtiment. D'autres fuient du bâtiment, mais encerclés, ils se rendent aux hommes dans les fossés.

Le Pvt. John Camien sort alors du fossé pour remplacer le capitaine de la 82ème décédé et aider Summers. Il demande alors à Summers « Que faites-vous ? » et Summers répond « Je ne peux vous le dire... », Camien demande alors « Et que font les autres ? », « Ils n'ont pas l'air de vouloir se battre, et je ne vais pas les y obliger, je finis donc le travail... » répond Summers, à quoi Camien répond « Ok, je suis avec vous ». En équipe, ils entrent dans les trois bâtiments suivants (les 6, 7 et 8 ) ; Camien, armé d'une carabine défonce la porte et Summers arrose l'intérieur des maisons avec sa Thompson. Le Pvt. Burt déplace sa mitrailleuse le long du fossé au fur et à mesure que Camien et Summers avancent vers l'ouest, de maison en maison, et couvre ces deux derniers. Les soldats ennemis ne peuvent observer les mouvements des paratroopers car ils sont forcés de baisser la tête sous les tirs de la mitrailleuse de Burt. Les tirs allemands provenant des bâtiments, sont inefficaces et à part faire du bruit, ne servent à rien. Les efforts conjugués de Camien et Summers dans ces trois bâtiments auront permis de tuer quinze allemands, et de faire plus d'une dizaine de prisonniers.

Les deux soldats rampent maintenant le long de la haie qui délimite le champ de la route entre la maison 8 et la maison 9. Le bâtiment 9 qui était le mess des hommes de troupe, était à environ 160 mètres devant eux. Le Pvt Burt suivait, le long du fossé en bordure de route, avec sa mitrailleuse. Brandenberger, qui est resté à l'arrière et ayant entendu les tirs de la mitrailleuse de Burt, prend la tête du reste du groupe, qui s'est considérablement renforcé depuis le début de l'attaque, car de nombreux hommes se sont dirigés vers l'objectif « XYZ », et le mène le long de la route, jusqu'aux trois derniers bâtiments (les 9, 10 et 11 ndlr).

Le mess était une grande ferme en pierre, à deux étages. Avec touts ces échanges de tirs et le bruit qu'il y a dans les environs, on pourrait penser que ce bâtiment aurait tout ses occupants sur la défensive. Mais non, les allemands, au nombre de quinze, déjeunent tranquillement, inconscients des combats qui se déroulent à l'extérieur jusqu'à ce que la porte s'ouvre d'un coup de pied de Summers. Ce dernier arrose la salle où les allemands déjeunent, qui n'ont pas le temps de prendre leurs armes. Les quinze allemands sont tués par Summers.

Juste le temps de respirer et les hommes se dirigent vers les deux derniers bâtiments du complexe. Le bâtiment 11 était un grand bâtiment en pierre, de deux étages, avec des murs de presque un mètre de large et avec un espace à découvert de plus de cinquante mètres jusqu'à la première haie, derrière laquelle Summers observe la situation. Les mitrailleurs ennemis avaient une très bonne vue sur la route. Il n'y avait pas de couverture pour l'attaque, dans n'importe quelle direction. N'importe quel soldat traversant la zone découverte était exposé aux tirs de fusils et de mitrailleuses provenant des ouvertures dans les murs de la ferme.

Le Colonel Cassidy était devenant préoccupé par les tirs incessants durant toute la journée, il envoie un groupe de renforts. Le groupe essaye d'approcher les derniers bâtiments en passant par un verger, au sud du groupe de Summers. Quelque part derrière eux un tireur d'élite observe leurs mouvements et abats trois troopers de la patrouille de Cassidy. Le reste de la patrouille traverse la haie sur le bord de la route mais se retrouve maintenant exposé aux tirs provenant des fentes du bâtiment 11. Quatre américains sont tués et un grand nombre blessés.
Le reste recule sur la route de Reuville. Pendant ce temps, la patrouille Summers suit le long de la route pour fournir un tir de suppression mais leurs tirs ne servent à rien car les balles ricochent sur les épais murs en pierre.

Le Lt. Brandenberger demande alors au Sgt. Summers, de le couvrir pendant qu'il court en direction des mitrailleuses ennemies du bâtiment 11, avec l'intention de détruire ces dernières. Il passe à peine l'arche à l'entrée de la cour du bâtiment 11 quand tout à coup il fait tomber bêtement sa mitraillette. Il essaye de la ramasser mais se rend compte que son bras est paralysé, il ne le contrôle plus. Il ne s'était pas rendu compte qu'il avait été touché. Brandenberger recule alors sur ses pas, laissant sa mitraillette au sol, et retourne dans le verger, là où il avait rencontré un gars de la 4ème DI, au sud de la route, mais ce dernier n'est plus là. Tenant son bras gauche avec son bras droit, et ayant le sang qui coule beaucoup, Brandenberger longe la haie sur la route de « Reuville » et trouve alors le Lt. Homer Combs, qui lui fait une piqure de morphine et essaie de stoper le sang. Le Pvt. Jack Rudd, un médecin de la compagnie arrive alors vers Brandenberger et fait ce qu'il peut pour stopper l'hémorragie puis ramène le Lt. Brandenberger à l'objectif « W », PC de Cassidy et où le chapelain Andrejewski et l'assistant de Lage, Ernest Shacklett ont installés leur poste de secours. (Patrick Callery, un médecin du 3/502ème, a improvisé un chariot pour transporter les blessés venant principalement de « Les Mézières » et fait un travail extraordinaire tout au long de la journée tout comme le Cpt. Franck Choy qui l'aide dans sa tâche). Brandenberger, arrivé au poste de secours, aperçoit Cassidy, et lit l'inquiétude sur son visage. Il est entouré par de nombreux blessés, dont le Cpt. Cleveland Fitzgerald, gisant bléssé sur le carrelage du poste de secours.

Cherchant un moyen plus facile de nettoyer le bâtiment 11, le Pvt. Burt rampe sur la route, et remarque une botte de foin à côté d'un grand hangar en bois, qui est à courte distance de la caserne principale (bâtiment 11). Utilisant des balles traçantes, il met rapidement le feu à ce tas de foin. Les flammes se propagent rapidement vers la grange en bois qui contenait des munitions et des obus commencent à exploser. Un groupe d'une trentaine de soldats ennemis se précipite alors en dehors du bâtiment et tente de fuir à travers le terrain à découvert. Ils se retrouvent alors sous le feu des américains. La trentaine d'allemands est fauchée en très peu de temps. Mais cette action n'a pas perturbé les allemands qui sont dans le bâtiment 11, qui continuent à tirer sur les troopers planqués derrière la haie.

Peu après, le Staff/Sgt. Roy Nickrent arrive équipé d'un bazooka. Il était venu en passant par le verger situé sur le côté sud de la route. Nickrent réussi à traverser la route sans être touché et se positionne derrière le mess (bâtiment 9), au bord de la haie. Ayant trouvé une bonne position de tir, il tir deux coups pour ajuster sa visée. Le premier tombe trop court tandis que le deuxième frappe la base du mur en pierre du bâtiment 11, il continue à ajuster ses tirs et le septième atteint le toit de la maison. De la fumée noire commence alors à sortir du trou qu'a causé le tir de bazooka.

Inconnus à Summers et son groupe, deux groupes alliés arrivent. Un groupe de la 4ème DI qui était venu de la plage se déplace vers l'ouest à travers les vergers, juste au nord de la position de Summers. L'autre groupe est composé de membre du HQ/502ème dirigé par le Lt. Col. John Michaelis ; ces derniers se déplacent le long de la route de Reuville en direction de l'objectif « W » (qui est le poste de commandement du colonel Cassidy).

Les flammes détruisent l'intérieur du bâtiment, et les allemands commencent à fuir vers le nord en traversant un champ à découvert, où ils sont pris sous le feu croisé du groupe de Summers, du groupe de la 4ème DI, et des troupes de Michaelis qui se déplacent vers l'objectif « W ». Une cinquantaine d'ennemis sont tués et une trentaine se rend les mains levées. La capture de l'objectif « XYZ » à « Les Mézières » était maintenant terminée. L'un des principaux objectifs du bataillon avait été accompli en moins d'une journée.

À la fin de la journée, lorsque les combats ont finalement pris fin, Summers s'assoit, tout bouleversé, et fume une cigarette. Quelqu'un lui demande alors comment il se sent, il répond alors : « Pas très bien, c'était totalement fou. Je suis sûr que je ne ferais jamais quelque chose de pareil »...


Pour finir, voici quelques photos montrant le hameau de Mézières de nos jours :

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Bref tout cela pour dire que bien que n'étant pas aussi médiatique que la prise de Brécourt par la Easy, cette action n'en demeure pas moins exceptionnelle.
Attention toutefois, je ne cherche en aucun cas à minimiser l'action et l'héroïsme d'une compagnie.
La Easy est une compagnie que j'admire,tout autant que les autres.
A+.


Ps Je tiens à préciser qu'il y a pas mal de personnes (sur les différents forums) avec qui j'ai pu échanger sur ce fait d'arme....et en premier lieu, je pense à Gennaker qui aurait pu faire un récit NETTEMENT plus détaillé que moi tant ses connaissances sur les Aigles Hurleurs (et l'airborne en général sont immenses...)

Ps2 Pour les amateurs de jeux vidéos, on retrouve ce fait d'arme dans le jeu "Brother In Arms, Road to Hill30"; une des toute premières missions accompli par le Sgt Matt Baker (accompagné d'un autre para) => il s'agit ni plus ni moins du fait d'arme des soldats Summers et Camin...
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 par lipton 78 du groupe for victory (   Objectif XYZ Mézières ) Empty Re: par lipton 78 du groupe for victory ( Objectif XYZ Mézières )

Message  Matthieu Mer 2 Jan - 13:48

merci eagle one pour ces petit fait d'arms meconnues par certain. J'aime connaitre des choses comme ca effectivement j'ai le jeu que tu parle est cela me disais quelque chose. j'espere en connaitre d'autres et bonne année
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