histoire d un para bob noody

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Bob Noody rejoint l'armée en Février 1943, peu après son 18e anniversaire. Il s'est porté volontaire pour les parachutistes, ne sachant pas de quoi il s'agissait, sauf que cela signifiait un supplément de 50 $ par mois. Son arrivée à Ft. Benning était une révélation, mais il a survécu à la «formation brutale." Il a rejoint la société Fox, 506ème PIR, 101ème Airborne à Aldbourne, en Angleterre, jus
te à temps pour l'invasion de la Normandie.
Dans la soirée du 5 Juin 1944, à l'aérodrome de Upottery, Noody a été immortalisé dans une photo prise de lui à bord de son C-47 immédiatement avant le décollage. La photo a été publiée sur la couverture d'un magazine Army Air Forces et il a pris une vie propre par la suite. Sur la photo, Bob se souvient qu'il doit peser au moins 250 livres., Encombrée de son fusil M-1, un bazooka, trois roquettes, des mines terrestres et d'autres assortis «nécessaire».


Cinquante mètres de corde pendait à sa poitrine, il avait ensuite utilisé pour abaisser sa poche de jambe au sol, ce qui facilite sa chute et d'assurer qu'il était prêt à se battre. Il a atterri derrière la maison du maire de Ste. Mere-Eglise. Dans les jours qui ont suivi, Noody utilisé son bazooka pour détruire un char allemand qui menaçait son unité en dehors de Carentan. C'était son utilisation première et la dernière bazooka, comme il a dépensé les trois roquettes qu'il portait à la bataille. Une blessure à la jambe à Carentan terminé son aventure Normandie.

Noody récupéré de ses blessures dans le temps de faire le saut Market Garden. Il a combattu avec la compagnie Fox à partir de Eindhoven vers le Rhin. Tout en récupérant de la campagne exhaustive Hollande, Noody et son unité ont été transportés par camion à endiguer la percée allemande à Bastogne. Il se figea en treillis réguliers, tenant de la ligne dans les bois Bois Jacques à côté de la Easy Company, au-dessus de la ville de Foy. Il a survécu aux bombardements constants et les patrouilles ne doit être blessé lors d'une patrouille nocturne de reconstruction Foy avant d'attaquer la Easy Company sur la ville. Noody a été blessé par des tirs amis quand un camarade tombé une grenade alors ils ont cherché refuge dans une petite maison en dehors de Foy.


via Pascal Emery Super Photo Type TOP

et merci Lolo pour cette recherche. J'aurais jamais pensé que son image puisse un jour resortire avec une histoire à son parcours ! merci encore et

Bob

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Edward Mauser. 2nd Platoon/Easy Company/506th PIR/101st Airborne Division.


Ancien Easy Company vétéran survivant, Ed Mauser a commencé son service militaire à l'âge de 24, le 15 Janvier 1942, quand il a été repêché peu après Pearl Harbor. Initialement affecté à une unité de l'Armée de cavalerie cheval, à Fort. Benning il a observé les parachutistes dans la formation et du bénévolat. Après l'achè
vement de l'école de saut, il rejoint la 101e division aéroportée à Fort. Bragg et 2e section de la Easy Company.
Le jour J, Mauser parachuté dans les haies de Normandie avec Chalk n ° 69. Il a débarqué seul avant la jonction avec Sgt. Robert "Burr" Smith en dehors de la ville de Vireville. Ils se trouvèrent bientôt dans un cercle vicieux fusillade autour d'une ferme près de la ville. Bien affecté à un escadron de mitrailleuses, Mauser servi principalement comme un carabinier pendant toute la guerre, confiant son M-1 à partir de la lutte initiale sur D-Day pour les forêts alpines de l'Autriche.

Pendant Market Garden, Mauser était l'un des 23 E-Company hommes qui ont participé à la fameuse mission de traverser le Bas-Rhin dans la nuit du 22 octobre 1944 pour sauver les 120 survivants parachutistes britanniques de la 1re Division aéroportée britannique après leur bataille à Arnhem . Que le sauvetage de nuit occupé par les Allemands territoire électrisé le Commandement allié, puis titubant après la perte de plus de 7.000 hommes tués, blessés et disparus dans l'assaut à Arnhem. Cette mission audacieuse demeure l'une des opérations les plus réussies de toute la guerre avec non pas une victime enregistrée. Mauser se souvient de garder le flanc gauche de la plage de la rivière, s'attendant à une attaque imminente qui, heureusement, n'est jamais venu. Son travail consistait à protéger le retrait du survivant à tout prix.

Après Hollande, Mauser fait le trajet en camion de Bastogne, revêtu de ses fatigues ordinaires. Il a enduré la "plus difficile" bataille de la guerre, "grâce à la bonne fortune et la fraternité qui était la Easy Company." Il rapporte en cours la chance d'avoir un complexe gourbi construit par "quelqu'un qui savait ce qu'il faisait." La structure robuste avec un toit a sauvé sa vie.