Troupes médicales aéroportée en Normandie

Dans la nuit de 5 – le 6 juin 1944, 8 paras de la 307ème Compagnie Médicale Aéroportée ont sautés en parachute en France avec le Siège social de Division.

À 18H52, le soir du 6 juin, les planeurs remorqués par les C-47 sont partis pour la Normandie portant le personnel médical rattaché au 307ème sous l'ordre de W Important. H. Houston. Un total de 19 Horsa britanniques et 1 planeur Waco américain du CG4A patis d'Angleterre (la partie de Force “B”), en survolant le Canal et rencontrant l'artillerie anti-aérienne ennemie modérée sur la péninsule du Cotentin.
Le corps principal de la Compagnie a atterri ensemble dans les champs marécageux, demi-inondés sillonnés par de petits canaux et des fossés. A minuit une petite Station de Clairière a été montée et les blessés ont commencé à entrer.

Le jour suivant, des nouvelles tristes ont été reçues par le Commandant de la 307ème Compagnie Médicale Aéroportée, Guillaume H Important. Houston, avait été tué (KIA le 6 juin 44 à 21H30)


Vue partielle de la station le 505e régiment d'aide # 1 (mis en place dans une ferme isolée d'accompagnement de la DZ Neuville).


Il a été remplacé le même jour par le Capitaine Jerry J. Belden, XO. Trois heures après le palier, la Compagnie a commencé à traiter des accidentés des accidents de planeur aussi bien que d'autres soldats en déroute aéroportés. Il y avait des poches isolées de troupes dispersées sur la région, tous avec des blessés et chaque effort étaient faits pour consolider ces groupes et recueillir les blessés.

Dans les premières phases de l'opération, le personnel médical s'établit et a recueilli leurs patients sur le site, les traitant sur-le-champ et bien qu'ils aient souffert de la quantité limitée de réserves qu'ils pourraient porter (la récupération de paquets était assez basse dans la proportion au nombre baissé) et le manque de moyens de transport, ils faisaient toujours une quantité déroutante de travail et ont sans doute sauvé beaucoup de vies.

Sur D + 1, il est devenu possible de commencer à évacuer des accidentés à la Station s'Éclaircissant. L'ascension de planeur final est arrivé l'après-midi et inévitablement beaucoup plus de blessures se sont produites ce qui a davantage affecté les opérations de l'unité médicale. Après des endroits changeants trois fois, à cause de l'interférence ennemie, ils ont commencé à opérer sur une grande échelle comme du 9 juin, seulement un quart de mile au sud de Ste-Mere-Eglise … les seuls véhicules disponibles était au nombre limité de ¼.
Les jeeps et les caravanes ont apporté des planeurs les bléssés, mais au moins ils ont permis au personnel médical de déplacer les cas transportables à l'arrière, loin de la bataille.

le 10 juin, les éléments venants de la mer (Forcent “C”) ont rejoint la Compagnie et ont rendu l'assemblage complet. Environ une moitié miles de distance, le 315ème Bataillon Médical (la 90ème Division d'Infanterie) a subi un bombardement direct qui a interrompu ses opérations normale.
Durant les 36 heures suivantes, le 307ème a repris les bléssés accidentés aussi.

Jeeps et remorques de la 307e Co Abn Med apporter des produits au 505e Regtl Sta aide # 1, situé à La Fière, à 2 miles à l'ouest de Sainte-Mère-Église.[/font]

Personnel médicaux Américains et allemands en soins médicaux pour les parachutistes blessés des deux nations à l'Hospice (505e Regtl poste de secours n ° 2) situé dans le centre de Sainte-Mère-Église.

Le capitaine George B. Wood, 505ème PIR aumônier protestant, illustré dans les ruines de bâtiments, quelque part à Sainte-Mère-Église

La carte d'identité médicale (le 2ème dessin, stratifié) de Pfc John L. Randall, ASN 33727821, Membre du Détachement Médical du 307ème Bataillon d'Ingénieur Aéroporté (82ème Abn Div).

Voici à quoi ressemblais un médic de la 101ème Airborne

Voici un lien de l'équipement individuel d'un médic : clic ici