Casques médic et leurs marquages.

La Convention de Genève CASQUE

Bien que largement répandu dans toute la Seconde Guerre mondiale, l'utilisation du marquage sur le casque n'était pas officielle -
en fait il n'y avait pas de règlements de l'armée régissant leur utilisation.

Bref historique :

Apparemment, la première utilisation du marquage médicale sur les casques d'acier a eu lieu en Afrique du Nord vers le mi 1943.
Pendant l'opération «Torch» et des activités subséquentes sur le terrain, il a été noté que beaucoup d'hommes d’aide médicale subi des pertes régulières.

L' Interrogatoire des pw allemand a révélé que seule le brassard de la Croix-Rouge (portés sur le bras gauche) n'était pas toujours visible .

pendant un combat, et comme tel , il était souvent difficile pour l'ennemi à identifier correctement les médecins sur le terrain.

Une enquête a été lancée et conformément aux instructions des rapports de l'Office General des États d'Afrique N. & Méditerranée en campagnes ont été intensivement étudiée.

Il a fallu un certain temps pour remédier à la situation, et en attendant, certains médecins viennent de placer un second brassard sous le filet de camouflage du casque afin de montrer leur affectation plus distinctement.

D'autres ont commencé à porter un brassard sur les deux bras pour l'identification accrue .
Enfin, à la fin, des médecins viennent de commencer les marques de peinture directement sur le casque lui-même.

Peu à peu, cet usage était généralement introduit dans le Théâtre italien, et plus tard élargie à l'ensemble des médics .

Toutefois, il semble que le Département de médecine avait peur de la réaction de l'ennemi, et lors du débarquement de Normandie, où des médecins ce sont abstenus de toute marque de peinture de croix rouges sur leurs casques .



Cela peut être clairement vu dans les illustrations de cette période,
Lorsque les Alliés de sont déplacé plus à l'intérieur des terres, ils semblaient apaisés, et en dehors de cas isolés (sauf, bien entendu, dans le Pacifique), l'ennemi respecter l'emblème de la Convention de Genève.

Normandie -

Juin 1944 combats

L’ artillerie ennemie et les tirs de mortier sont la cause principale de la plupart des victimes des troupes médicales, ainsi que pour les dommages aux véhicules service médical et les installations.

Toutefois, tuant et blessant des Aides porteurs de litière et les l'aide personnel de la station par des tirs de fusil, provenant de tireurs d'élite ennemis, a soulevé la question de savoir si la politique du général ennemi était de respecter les droits des hommes marqués de la Croix-Rouge et non armés du personnel médical.

Après 2 mois de combats et une analyse minutieuse de nombreux incidents, la plupart des corps, des divisions et inférieure-chirurgiens Echelon et les commandants d'unité médicale a conclu que, sauf pour des Cas isolés, les Allemands ont suivi les règles!

Le commandant du 4e Bataillon Médical (partie de la 4e Div. Inf.), qui avait Eu des hommes tués et des blessés et des ambulances endommagées par des tirs d'artillerie et de mitrailleuses, a déclaré dans son «Rapport d'exploitation, daté du 6-30 Juin, 1944» que l'opinion qui a prévalu, ... que peu de dommage a été délibérée et que la plupart du temps l'ennemi respecté les règles de la guerre sur terre ...

Conformément au décret allemand des prisonniers, des tireurs isolés résultent souvent de la difficulté à voir et à identifier les brassards de la croix rouge sur les hommes se déplaçant le long des haies;
Des médecins américains dans certaines divisions on noter qu'une proportion élevée de leurs victimes d'armes légères ont souvent été pris à partir du côté droit opposé du brassard !!!

Alors les aides porteur de litière en conséquence ont commencé le port des brassards aux deux bras, et ont aussi commencé la peinture de la Croix-Rouge sur leurs casques d'acier.

Le XIX Corps Chirurcal a officiellement autorisé ces mesures et d'autres… à faire les marquages de la Convention de Geneve sur les hommes et les véhicules plus visibles ... Certains gestes de la chevalerie, soi-disant morts dans la premiére guerre, ont honoré le champ de bataille de Normandie.

Les Soldats des deux côtés, américain et allemand, soit à la suite de tréve temporaires (formel ou informel), ou plus souvent par Accor tacite (local) y consentent, pour cessé le feu afin de permettre d'atteindre leurs victimes –

parfois les allemandes et des médecins américains s’aider a évacuer et / ou traiter les blessés ensemble ,
US Army a retourné 16 infirmières allemands capturés à Cherbourg, par leurs propres forces (sous un pavillon de la trêve) - un commandant allemand a renvoyé 83 Medics capturé par ces troupes. Il semble donc que les deux parties suivirent du mieux qu'ils le pouvaient les conventions.

Application: Dans certaines unités, le chirurgien d’unité définie le type de marquage, qui devait orner le casque des Médics, tandis que dans d'autres unités, il n'y avait pas de norme spécifique, ce qui explique la variété très répandue dans les marquages de casque.

J’ai découvert plus de 10 marques différentes, par laquelle des combinaisons de couleurs, dimensions, et même le symbole de la croix rouge diffère beaucoup ... parfois des pochoirs ont été utilisés, mais la plupart des marques étaient simplement peints à la main ...


un ancien commandant du 10 e Bataillon Médical, ce rappelle que la 10e division de montagne chirurgien a ordonné que les casques des infirmiers devait t' être peint avec l'arrière-plan grand carré blanc avec une croix rouge centré. Il a estimé que la petite circulaire marqué d'une croix ressemblait trop à des cibles. . Il semble que les hommes du bataillon médical utilisé le grand marquage sur place, tandis que le personnel médical attaché directement aux régiments d'infanterie portaient le casque marqué d'un petits ronds.